(Joël 2:1)
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POURQUOI ?
"Jusqu’à quand, ô Jéhovah, me faudra-t-il crier au secours sans que tu entendes ? Jusqu’à quand t’appellerai-je à l’aide contre la violence sans que tu sauves ? Pourquoi me fais-tu voir ce qui est malfaisant et continues-tu à regarder le malheur ? Pourquoi le pillage et la violence sont-ils devant moi ? Pourquoi y a-t-il des querelles, et pourquoi la dispute l’emporte-t-elle ? Aussi la loi s’engourdit et la justice ne sort jamais. Car le méchant cerne le juste, voilà pourquoi la justice sort tortueuse"
(Habacuc 1:2-4)
"Et moi, je suis retourné pour voir tous les actes d’oppression qui se commettent sous le soleil, et, voyez, les larmes des opprimés, mais ils n’avaient pas de consolateur ; et du côté de leurs oppresseurs il y avait la force, de sorte qu’ils n’avaient pas de consolateur. (…) J’ai tout vu pendant mes jours de vanité. Il existe tel juste qui périt dans sa justice, et il existe tel méchant qui dure longtemps dans sa méchanceté. (…) Tout cela, je l’ai vu, et il y a eu application de mon cœur à toute œuvre qui s’est faite sous le soleil, durant le temps où l’homme a dominé l’homme à son détriment. (…) Il existe une vanité qui se fait sur la terre : c’est qu’il existe des justes à qui arrivent des choses comme si c’était pour l’œuvre des méchants, et il existe des méchants à qui arrivent des choses comme si c’était pour l’œuvre des justes. J’ai dit que cela aussi est vanité. (…) J’ai vu des serviteurs sur des chevaux, mais des princes marchant sur la terre comme des serviteurs"
(Ecclésiaste 4:1 ; 7:15 ; 8:9,14 ; 10:7)
"Car la création a été soumise à la futilité, non de son propre gré, mais à cause de celui qui l’a soumise, en raison de l’espérance"
(Romains 8:20)
"Que personne, lorsqu’il est dans l’épreuve, ne dise : “Je suis en train d’être éprouvé par Dieu.” Car Dieu ne peut être éprouvé par des choses mauvaises et lui-même n’éprouve personne de cette façon""
(Jacques 1:13)
Pourquoi Dieu a-t-il permis la souffrance et la méchanceté jusqu’à nos jours ?
Le véritable responsable de cette situation est Satan le diable, qualifié dans la Bible, d’accusateur (Révélation 12:10). Jésus-Christ, le fils de Dieu, a dit qu’il était un menteur et un homicide ou un assassin du genre humain (Jean 8:44). Il y a deux grandes accusations qui ont été portées à l’attention de Dieu :
1 – Une accusation contre le droit de Dieu de gouverner sur ses créatures, tant invisibles que visibles.
2 – Une accusation concernant l’intégrité de la création, particulièrement de l’être humain, fait à l’image de Dieu (Genèse 1:26).
Lorsqu’une plainte est déposée et que des accusations graves sont portées, il faut beaucoup de temps pour qu’une instruction soit faite à charge ou à décharge, avant le procès et le jugement définitif. La prophétie de Daniel chapitre 7, présente la situation, dans laquelle sont impliquées la souveraineté de Dieu et l’intégrité de l’homme, à un tribunal où a lieu un jugement : "Le Tribunal prit place, et des livres furent ouverts. (…) Et le Tribunal se mit à siéger, et on lui ôta finalement sa domination, afin de l’anéantir et de le détruire totalement" (Daniel 7:10,26). Comme il est écrit dans ce texte, on retirera au diable et aussi à l’homme, la souveraineté de la terre qui appartient depuis toujours à Dieu. Cette image du tribunal est présentée en Ésaïe chapitre 43, où il est écrit que ceux qui prennent partie pour Dieu, sont ses "témoins" : "Vous êtes mes témoins ”, c’est là ce que déclare Jéhovah, “ oui mon serviteur que j’ai choisi, afin que vous me connaissiez et ayez foi en moi, et que vous compreniez que je suis le Même. Il n’y a pas eu de Dieu formé avant moi, et après moi il n’y en a toujours pas eu. Moi, moi je suis Jéhovah, et en dehors de moi il n’y a pas de sauveur" (Ésaïe 43:10,11). Jésus-Christ est aussi appelé le "Témoin fidèle" de Dieu (Révélation 1:5).
Dans le cadre de ces deux accusations graves, Jéhovah Dieu a laissé du temps, plus de 6000 ans, à Satan le diable et à l’humanité pour présenter leurs preuves, à savoir s’ils peuvent gouverner ou administrer la terre sans la souveraineté de Dieu. Nous sommes au terme de cette expérience où le mensonge du diable est révélé au grand jour par la situation catastrophique dans laquelle se trouve l’humanité, au bord la ruine totale (Matthieu 24:22). Le jugement et l’application de la sentence auront lieu à la grande tribulation (Matthieu 24:21 ; 25:31-46). Maintenant abordons plus précisément les deux accusations du diable en examinant ce qui s’est passé en Éden, en Genèse chapitres 2 et 3, et le livre de Job chapitres 1 et 2.
1 - Une accusation contre le droit de Dieu de gouverner sur ses créatures, tant invisibles que visibles
Genèse chapitre 2 nous informe que Dieu créa l’homme et l’installa dans un "jardin", appelé Éden de plusieurs milliers d’hectares, si ce n’est plus. Adam était dans des conditions idéales. Dans ce cadre paradisiaque, il jouissait d’une grande liberté (Jean 8:32). Cependant, Dieu a fixé une limite à cette liberté immense : un arbre : "Et Jéhovah Dieu prit alors l’homme et l’installa dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour s’en occuper. Et Jéhovah Dieu imposa aussi cet ordre à l’homme : “ De tout arbre du jardin tu peux manger à satiété. Mais quant à l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne dois pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr" (Genèse 2:15-17). "L’arbre de la connaissance du bon et du mauvais" était tout simplement la représentation concrète du concept abstrait du bon et du mauvais. Désormais cet arbre réel, représentait pour Adam, la limite concrète, une "connaissance (concrète) du bon et du mauvais", fixée par Dieu, entre le "bon", Lui obéir et ne pas en manger et le "mauvais", la désobéissance.
Il est évident que ce commandement de Dieu n’avait rien de pesant (comparer avec Matthieu 11:28-30 "Car mon joug est doux et ma charge est légère" et 1 Jean 5 :3 "ses commandements ne sont pas pesants" (ceux de Dieu)). Dit en passant, certains ont dit que le "fruit défendu" représentait les relations charnelles : c’est faux, parce que lorsque Dieu a donné ce commandement, Eve n’existait pas. Dieu n’allait pas interdire une chose que qu’Adam ne pouvait pas connaitre (Comparer la chronologie des évènements Genèse 2:15-17 (le commandement de Dieu) avec 2:18-25 (la création d’Ève)).
La tentation du diable
"Or le serpent était la plus prudente de toutes les bêtes sauvages des champs qu’avait faites Jéhovah Dieu. Et il se mit à dire à la femme : “ Est-ce vrai que Dieu a dit que vous ne devez pas manger de tout arbre du jardin ? ” Mais la femme dit au serpent : “ Du fruit des arbres du jardin nous pouvons manger. Mais quant à manger du fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : ‘ Vous ne devez pas en manger, non, vous ne devez pas y toucher, afin que vous ne mouriez pas. ’ ” Cependant le serpent dit à la femme : “Vous ne mourrez pas du tout. Car Dieu sait que, le jour même où vous en mangerez, vos yeux ne manqueront pas de s’ouvrir et, à coup sûr, vous serez comme Dieu, connaissant le bon et le mauvais. ” Alors la femme vit que l’arbre était bon pour la nourriture et que c’était quelque chose d’enviable pour les yeux, oui l’arbre était désirable à regarder. Elle prit donc de son fruit et en mangea. Puis elle en donna aussi à son mari, quand il fut avec elle, et il en mangea" (Genèse 3:1-6).
La souveraineté de Dieu a été ouvertement attaquée par le diable. Satan a ouvertement laissé entendre que Dieu faisait de la rétention d’information dans le but de porter préjudice à ses créatures : "Car Dieu sait que" (en laissant entendre qu’Adam et Eve ne le savaient pas et que cela leur portait préjudice). Néanmoins, Dieu restait toujours maitre de la situation.
Pourquoi Satan s’est-il adressé à Ève plutôt qu’à Adam ? Pour reprendre l’expression sous inspiration de l’apôtre Paul, pour la "tromper" : "Et Adam n’a pas été trompé ; mais la femme, ayant été complètement trompée, est tombée dans la transgression" (1 Timothée 2:14). En quel sens Ève a été trompée ? En raison de son jeune âge car elle avait que très peu d’années d’expérience, tandis qu’Adam avait au moins plus de quarante ans. D’ailleurs, Ève a été peu surprise, en raison de son jeune âge, qu’un serpent lui adresse la parole. Elle a normalement continué cette conversation insolite. Par conséquent Satan a profité de l’inexpérience d’Ève pour l’amener à pécher. Cependant, Adam savait ce qu’il faisait, il a pris la décision de pécher d’une manière délibérée. Cette première accusation du diable était en relation au droit naturel de Dieu de gouverner ses créatures, tant invisibles que visibles (Révélation 4:11).
Peu avant la fin de cette journée, avant le coucher du soleil, Dieu a jugé les trois coupables (Genèse 3:8-19). Avant de se déterminer sur la culpabilité d’Adam et Ève, Jéhovah Dieu s’est contenté de leur poser une question sur leur geste et eux de répondre: ""La femme que tu as donnée pour être avec moi, elle m’a donné du fruit de l’arbre et ainsi j’ai mangé". (…) "Le serpent — il m’a trompée et ainsi j’ai mangé"" (Genèse 3:12,13). Loin de reconnaitre leur culpabilité, tant Adam, qu’Eve, ont tenté de se justifier. Adam a même reproché indirectement à Dieu de lui avoir donné une femme qui l’a poussé à la faute : "La femme que tu as donnée pour être avec moi". En Genèse 3:14-19, nous pouvons lire le jugement de Dieu assortie d’une promesse de la réalisation de son dessein : "Je mettrai une inimitié entre toi et la femme, entre ta semence et sa semence. Il te meurtrira à la tête et tu le meurtriras au talon" (Genèse 3:15). Par cette promesse, Jéhovah Dieu signifiait particulièrement que son dessein se réaliserait immanquablement, en informant à Satan le diable qu’il serait détruit. À partir de ce moment, le péché est entré dans le monde, ainsi que sa conséquence principale, la mort : "Voilà pourquoi, de même que par un seul homme le péché est entré dans le monde et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue à tous les hommes parce que tous avaient péché" (Romains 5:12).
2 – Une accusation concernant l’intégrité de l’être humain, fait à l’image de Dieu
Le défi de Satan le diable
Le diable a laissé entendre qu’il y avait un défaut dans la nature humaine. Cela ressort dans le défi du diable concernant l’intégrité du fidèle serviteur Job :
"Alors Jéhovah dit à Satan : “ D’où viens-tu ? ” Et Satan répondit à Jéhovah et dit : “ De rôder par la terre et d’y circuler. ” Puis Jéhovah dit à Satan : “ As-tu fixé ton cœur sur mon serviteur Job ? As-tu noté qu’il n’y a personne comme lui sur la terre : un homme intègre et droit, craignant Dieu et s’écartant du mal ? ” Mais Satan répondit à Jéhovah et dit : “ Est-ce pour rien que Job a craint Dieu ? N’as-tu pas toi-même élevé une haie autour de lui, autour de sa maison et autour de tout ce qui est à lui à la ronde ? L’œuvre de ses mains, tu l’as bénie, et son bétail s’est répandu sur la terre. Mais, pour changer, avance ta main, s’il te plaît, et touche à tout ce qui est à lui, et vois s’il ne te maudit pas à ta face. ” Alors Jéhovah dit à Satan : “ Vois ! Tout ce qui est à lui est en ta main. Contre lui seulement n’avance pas ta main ! ” Et Satan sortit d’auprès de la personne de Jéhovah. (…) Alors Jéhovah dit à Satan : “ D’où viens-tu ? ” Et Satan répondit à Jéhovah et dit : “ De rôder par la terre et d’y circuler. ” Puis Jéhovah dit à Satan : “ As-tu fixé ton cœur sur mon serviteur Job ? As-tu noté qu’il n’y a personne comme lui sur la terre : un homme intègre et droit, craignant Dieu et s’écartant du mal ? Et il tient toujours ferme son intégrité, bien que tu m’excites contre lui pour l’engloutir sans raison. ” Mais Satan répondit à Jéhovah et dit : “ Peau pour peau, et tout ce qu’un homme a, il le donnera pour son âme. Pour changer, avance ta main, s’il te plaît, et touche jusqu’à son os et à sa chair, et vois s’il ne te maudit pas à ta face. ” Jéhovah donc dit à Satan : “Le voici dans ta main ! Seulement fais attention à son âme !" (Job 1:7-12 ; 2:2-6).
Le défaut de l’être humain, selon Satan le diable, serait qu’il sert Dieu, non pas par amour pour son Créateur, mais par intérêt et opportunisme. Mis dans sous pression, par la perte de ses biens et par peur de la mort, toujours selon Satan le diable, l’homme ne pourrait que se départir de sa fidélité envers Dieu. Mais Job a démontré que Satan le diable est un menteur : Job a perdu tous ses biens, il a perdu ses 10 enfants et il a frôlé la mort par un "furoncle malin" (Récit de Job 1 et 2). Trois faux consolateurs se sont chargés de torturer psychologiquement Job, en laissant entendre que tous ses malheurs venaient de péchés cachés de sa part, et que par conséquent Dieu le châtiait pour sa culpabilité et sa méchanceté. Néanmoins Job ne s’est pas départi de son intégrité et leur a répondu : "Il est impensable pour moi de vous déclarer justes ! Jusqu’à ce que j’expire, je ne me dessaisirai pas de mon intégrité !" (Job 27:5).
Cependant, la défaite du diable la plus importante concernant le maintien de l’intégrité de l’homme jusqu’à la mort, a été concernant Jésus-Christ qui a été obéissant à son Père, jusqu’à la mort: "En outre, lorsque, par sa manière d’être, il s’est trouvé comme un homme, il s’est humilié lui-même et est devenu obéissant jusqu’à la mort, oui la mort sur un poteau de supplice" (Philippiens 2:8). Jésus-Christ, par son intégrité jusqu’à la mort, a offert à son Père une victoire spirituelle très précieuse, c’est pour cela qu’il a été récompensé : "C’est pourquoi aussi Dieu l’a élevé à une position supérieure et lui a donné volontiers le nom qui est au-dessus de tout autre nom, afin qu’au nom de Jésus plie tout genou de ceux qui sont dans le ciel et de ceux qui sont sur la terre et de ceux qui sont sous le sol, et que toute langue reconnaisse ouvertement que Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père" (Philippiens 2:9-11).
Dans l’illustration du fils prodigue, Jésus-Christ nous permet de mieux comprendre la façon d’agir de son Père dans des situations où ses créatures contestent, pendant un temps, son autorité (Luc 15:11-24). Le fils prodigue demanda à son père son héritage et de partir de la maison. Le père a permis à son fils déjà grand, de prendre de cette décision, mais aussi d’en assumer les conséquences. De la même manière, Dieu a laissé à Adam d’user son libre choix, mais aussi d’en assumer les conséquences. Ce qui nous amène à la question suivante concernant la souffrance de l’humanité.
Pourquoi les souffrances ?
Les souffrances sont le résultat de quatre facteurs principaux
1 - Le diable est celui qui cause les souffrances (mais pas toujours) (Job 1:7-12 ;2:1-6). Selon la déclaration de Jésus-Christ, c’est Satan le diable, le chef de ce monde : "Maintenant a lieu un jugement de ce monde ; maintenant le chef de ce monde sera jeté dehors" (Jean 12:31 ; 1 Jean 5:19). C’est pour cela que l’humanité dans son ensemble est malheureuse : "Car nous savons que jusqu’à maintenant toute la création ne cesse de gémir ensemble et de souffrir ensemble" (Romains 8 :22).
2 - La souffrance est le résultat de notre condition de pécheur, qui nous conduit à la vieillesse, la maladie et la mort: "Voilà pourquoi, de même que par un seul homme le péché est entré dans le monde et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue à tous les hommes parce que tous avaient péché. (…) Car le salaire que paie le péché, c’est la mort" (Romains 5:12 ; 6:23).
3 - La souffrance peut être le résultat de mauvaises décisions humaines (de notre part ou de celles d'autres humains) : "Car le bien que je veux, je ne le fais pas, mais le mal que je ne veux pas, c’est ce que je pratique" (Deutéronome 32:5 ; Romains 7:19). La souffrance n’est pas le résultat d’une "supposée loi du karma". Voici ce que l’on peut lire en Jean chapitre 9 : "Or, comme il passait, il vit un homme aveugle de naissance. Et ses disciples lui demandèrent : “ Rabbi, qui a péché, cet homme ou ses parents, pour qu’il soit né aveugle ? ” Jésus répondit : “Ni cet homme n’a péché ni ses parents, mais c’est afin que les œuvres de Dieu soient manifestées dans son cas" (Jean 9:1-3). Les "œuvres de Dieu", dans son cas, allaient être sa guérison miraculeuse.
4 - Les souffrances peuvent être le résultat de "temps et évènements imprévus" qui font que la personne est au mauvais endroit au mauvais moment : "Je suis retourné pour voir sous le soleil que la course n’est pas aux hommes rapides, ni la bataille aux hommes forts, et non plus la nourriture aux sages, et non plus la richesse aux intelligents, ni même la faveur à ceux qui ont de la connaissance, car temps et événement imprévu leur arrivent à tous. Car l’homme non plus ne connaît pas son temps. Comme les poissons qui sont pris au filet mauvais, et comme les oiseaux qui sont pris au piège, ainsi les fils des hommes sont attrapés en un temps funeste, quand il tombe sur eux tout à coup" (Ecclésiastes 9 :11,12).
Voici ce qu’a dit Jésus-Christ concernant deux évènements tragiques qui avaient causé de nombreux morts : "À cette même époque, certains étaient là, qui l’informèrent sur les Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang à celui de leurs sacrifices. Alors, en réponse, il leur dit : “ Pensez-vous que ces Galiléens aient été de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont subi ces choses ? Non, pas du tout, je vous le dis ; mais si vous ne vous repentez pas, vous serez tous détruits de même. Ou ces dix-huit sur qui est tombée la tour de Siloam et qu’elle a tués, pensez-vous qu’ils aient été de plus grands débiteurs que tous les autres hommes qui habitent Jérusalem ? Non, pas du tout, je vous le dis ; mais si vous ne vous repentez pas, vous serez tous détruits pareillement" (Luc 13:1-5). À aucun moment Jésus-Christ n’a laissé entendre que les victimes d’accidents ou de catastrophes naturelles auraient plus péché que d’autres, ni même que Dieu provoque de tels évènements pour punir les pécheurs. Que ce soit, les maladies, les accidents ou les catastrophes naturelles, ce n’est pas Dieu qui les provoque et ceux qui en sont victimes n’ont pas plus péché que d’autres.
Dieu mettra fin à toutes ces souffrances : "Alors j’ai entendu une voix forte venant du trône dire : “ Voyez ! La tente de Dieu est avec les humains, et il résidera avec eux, et ils seront ses peuples. Et Dieu lui-même sera avec eux. Et il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; ni deuil, ni cri, ni douleur ne seront plus. Les choses anciennes ont disparu” (Révélation 21:3,4).
Le destin, la fatalité et le libre choix
Le "destin" ou le fatalisme, n’est pas un enseignement biblique. Nous ne sommes pas "destinés" à faire le bien ou le mal, mais selon le "libre choix", nous choisissons de faire le bien ou le mal (Deutéronome 30:15). Ce point de vue sur le destin ou le fatalisme est étroitement lié à l’idée que beaucoup de personnes se font sur l’omniscience de Dieu et sa capacité de connaitre l’avenir. Nous allons voir comment Dieu utilise son omniscience ou sa capacité de connaitre les évènements à l’avance. Nous verrons, d’après la Bible, que Dieu l’utilise de manière sélective et discrétionnaire ou dans un dessein bien précis, par plusieurs exemples bibliques.
Dieu utilise son omniscience de manière discrétionnaire et sélective
Dieu savait-Il qu’Adam allait pécher ? D’après le contexte de Genèse 2 et 3, il est évident que non. Comment Dieu aurait-Il pu donner un commandement dont Il aurait su par avance qu’Adam allait désobéir ? Cela aurait été contraire à son amour et tout avait été fait pour que ce commandement ne soit pas pesant (1 Jean 4:8 ; 5:3). Nous allons prendre deux exemples bibliques qui démontrent que Dieu utilise sa capacité de connaitre l’avenir de manière relative ou discrétionnaire. Mais aussi, qu’Il utilise cette capacité toujours dans un dessein bien précis.
Le premier exemple est celui avec Abraham. En Genèse 22:1-14 il y a le récit très douloureux pour Abraham de la demande de Dieu de sacrifier son fils Isaac. En demandant à Abraham de sacrifier son fils, savait-Il d’avance si Abraham serait capable d’obéir ? Selon le contexte immédiat du récit, non. Alors qu’au dernier moment Dieu a empêché Abraham de faire un tel acte, il est écrit ceci: “N’étends pas la main contre le garçon et ne lui fais rien, car à présent je sais vraiment que tu crains Dieu, puisque tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique” (Genèse 22:12). Il est écrit "à présent je sais vraiment que tu crains Dieu". L’expression "à présent" démontre que Dieu ne savait pas si Abraham irait jusqu’au bout de cette demande.
Le deuxième exemple concerne la destruction de Sodome et Gomorrhe. Peu avant la destruction de ces deux villes, Jéhovah a dit ceci à Abraham: "Alors Jéhovah dit : “ Le cri de plainte concernant Sodome et Gomorrhe, oui il est fort, et leur péché, oui il est très lourd. Je suis bien résolu à descendre pour voir s’ils agissent tout à fait selon la clameur à ce sujet, qui est venue jusqu’à moi ; et, sinon, je peux le savoir” (Genèse 18:20,21). Le fait que Dieu envoie deux anges pour vérifier une situation scandaleuse, démontre une fois de plus que dans un premier temps, Il n’a pas tous les éléments de preuves pour prendre une décision, et dans ce cas, Il utilisa sa capacité de savoir ou de s’informer, par le moyen de deux anges.
Si nous lisons les différents livres prophétiques bibliques, nous constaterons que Dieu utilise toujours sa capacité de connaitre l’avenir dans un dessein très précis (La prophétie de Zacharie; la prophétie de Daniel). Prenons un exemple biblique simple. Alors que Rébecca était enceinte de jumeaux, le problème était de savoir qui des deux enfants, serait l’ancêtre de la nation choisie par Dieu. Pour cela, il fallut que Dieu utilisât sa prescience pour désigner lequel des deux enfants à naitre serait digne d’un tel privilège: "Rébecca sa femme devint enceinte. Or les fils en elle se donnaient des coups, si bien qu’elle dit : “ S’il en est ainsi, pourquoi suis-je en vie ? ” Là-dessus elle alla interroger Jéhovah. Alors Jéhovah lui dit : “ Deux nations sont dans ton ventre, et deux communautés nationales, issues de ton sein, se sépareront ; une communauté nationale sera plus forte que l’autre communauté nationale, et l’aîné servira le cadet” (Genèse 25:21-26).
L’ainé étant Ésaü, ancêtre de la nation d’Édom, fut effectivement supplanté dans son droit d’ainesse par son frère cadet Jacob, ancêtre de la nation d’Israël, pour l’avoir vendu pour un simple plat de lentilles (Genèse 25:34). Ce qui démontrait qu’Ésaü était un homme dépourvu de spiritualité, et que Dieu a utilisé sa prescience pour choisir le meilleur homme, Jacob, pour être le fondateur de sa nation spéciale, Israël (Hébreux 12:16,17). Cela ne veut pas dire que Jéhovah Dieu soit intervenu dans le libre choix de Jacob ou Ésaü, pour que l’un devienne spirituel et l’autre charnel. Jéhovah Dieu a fait une simple observation du capital génétique de l’un et de l’autre (même si ce n’est pas la génétique qui contrôle dans sa totalité les comportements futurs), et ensuite dans sa prescience, Il a fait une projection dans l’avenir pour savoir quels genres d’hommes ils allaient devenir : "Tes yeux ont vu mon embryon, et dans ton livre étaient inscrites toutes ses parties, pour ce qui est des jours où elles furent formées et où il n’y avait pas encore une seule d’entre elles" (Psaumes 139:16). Sur la base de cette prescience, Dieu a fait son choix (Romains 9:10-13).
Pour insister sur cette utilisation très ciblée de la prescience de Dieu, nous pouvons prendre un dernier exemple. Après la mort du traitre Judas Iscariote, il a fallu le remplacer par un autre apôtre. Or les apôtres devaient choisir entre deux hommes, Barsabbas Justus et Matthias. Les apôtres ont demandé par la prière que Dieu choisisse l’homme. Voici ce qui est écrit concernant cette prière: "Et ils prièrent et dirent : “ Toi, ô Jéhovah, qui connais le cœur de tous, désigne lequel de ces deux hommes tu as choisi pour prendre la place de ce ministère et apostolat, dont Judas a dévié pour s’en aller en son propre lieu.” Ils jetèrent alors les sorts pour eux, et le sort tomba sur Matthias ; et il fut compté avec les onze apôtres" (Actes 1:24-26). "Toi, ô Jéhovah, qui connais le cœur de tous", montre que dans certains cas Dieu utilise sa prescience pour faire le meilleur choix sur la personne, sans interférer sur son libre arbitre.
Dieu nous protège-t-il ?
Avant de comprendre la pensée de Dieu sur le thème de notre protection individuelle, il est important d’examiner trois points bibliques importants (1 Corinthiens 2:16):
1 – Jésus-Christ a montré que la vie actuelle qui aboutit à la mort, a une valeur provisoire pour tous les humains. Par exemple il a comparé la mort de Lazare à un "sommeil", qui par définition est provisoire (Jean 11:11). De plus, Jésus-Christ a montré que ce qui compte, c’est de préserver notre perspective de vie éternelle plutôt que chercher à "survivre" à une épreuve au prix d’un compromis grave : "Qui trouve son âme la perdra, et qui perd son âme à cause de moi la trouvera" (Matthieu 10:39). Le mot "âme", selon le contexte, est à prendre au sens de vie (Genèse 35:16-19). L’apôtre Paul, sous inspiration, a montré que la "vie véritable" est celle axée sur l’espérance de la vie éternelle dans le paradis: "Amassant en lieu sûr pour eux-mêmes un beau fondement pour l’avenir, afin qu’ils saisissent fermement la vie véritable" (1 Timothée 6:19).
Lorsque nous lisons le livre des Actes, nous constatons, que parfois Dieu a laissé l’épreuve du chrétien aboutir jusqu’à sa mort, dans le cas de l’apôtre Jacques et du disciple Étienne (Actes 7:54-60 ; 12:2). Dans d’autres cas, Dieu a décidé de protéger le disciple. Par exemple, après le mort de l’apôtre Jacques, Dieu a décidé de protéger l’apôtre Pierre d’une mort identique (Actes 12:6-11). D’une façon générale, dans le contexte biblique, la protection ou non, d’un serviteur de Dieu est souvent liée à son dessein. Par exemple, alors qu’il était en plein naufrage, il y a eu une protection divine collective de l’apôtre Paul et ainsi que l’ensemble des personnes sur le bateau: "Cette nuit, en effet, s’est tenu près de moi un ange du Dieu à qui j’appartiens et à qui j’offre un service sacré, et il a dit : ‘ N’aie pas peur, Paul. Il faut que tu comparaisses devant César, et, vois, Dieu t’a donné volontiers tous ceux qui naviguent avec toi’" (Actes 27:23,24). La protection divine collective s’inscrivait dans un dessein divin supérieur, à savoir que Paul devait rendre témoignages à des rois (Actes 9:15,16).
2 – Il faut replacer cette question de la protection divine, dans le contexte des deux défis lancés par Satan et particulièrement dans les propos qu’il a tenu concernant l’intégrité de Job : "N’as-tu pas toi-même élevé une haie autour de lui, autour de sa maison et autour de tout ce qui est à lui à la ronde ?" (Job 1:10). Pour répondre à la question de l’intégrité concernant Job et l’ensemble de l’humanité, ce défi du diable montre que Dieu devait, d’une manière relative, retirer sa protection sur Job, ce qui pourrait bien aussi s’appliquer à l’ensemble de l’humanité. Peu avant de mourir, Jésus-Christ, en citant le Psaumes 22:1, a montré que Dieu lui avait enlevé toute forme de protection, ce qui a abouti à sa mort en sacrifice (Jean 3:16): "Vers la neuvième heure, Jésus cria d’une voix forte, disant : “ Éli, Éli, lama sabaqthani ? ” c’est-à-dire : “ Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?"” (Matthieu 27:46). Néanmoins, concernant l’humanité dans son ensemble, ce retrait de la protection divine reste relatif, car tout comme Dieu a interdit au diable de provoquer la mort de Job, il est évident qu’il en est de même pour de l’ensemble de l’humanité (comparer avec Matthieu 24:22).
3 – Nous avons examiné plus haut, que les souffrances peuvent être le résultat de "temps et évènements imprévus" qui font que des personnes peuvent se retrouver au mauvais moment, au mauvais endroit (Ecclésiastes 9:11,12). Ainsi, d’une manière générale les humains ne sont pas protégés par Dieu des conséquences du choix qui a été fait à l’origine par Adam. L’homme vieillit, tombe malade et meurt (Romains 5:12). Il peut être victime d’accidents ou de catastrophes naturelles. L’apôtre Paul, sous inspiration, l’a bien écrit : "Car la création a été soumise à la futilité, non de son propre gré, mais à cause de celui qui l’a soumise, en raison de l’espérance" (Romains 8:20 ; le livre de l’Ecclésiaste contient une description très détaillée de la futilité de la vie présente qui mène inévitablement à la mort: "La plus grande des vanités ! a dit le rassembleur, la plus grande des vanités ! Tout est vanité !" (Ecclésiaste 1:2)).
De plus, Dieu ne protège pas les humains des conséquences de leurs mauvaises décisions: "Ne vous égarez pas : on ne se moque pas de Dieu. Car ce qu’un homme sème, cela il le moissonnera aussi ; parce que celui qui sème pour sa chair moissonnera de sa chair la corruption, mais celui qui sème pour l’esprit moissonnera de l’esprit la vie éternelle" (Galates 6:7,8). Si Dieu a soumis l’humanité à la futilité, pendant un temps relativement long, cela nous permet de comprendre qu’Il a retiré sa protection des conséquences de notre état de pécheur. Certes, cette situation périlleuse pour l’ensemble de l’humanité, sera provisoire: "La création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu" (Romains 8:21). C’est alors que l’ensemble de l’humanité, après la résolution de la contestation du diable, retrouvera la protection bienveillante de Dieu dans le paradis terrestre: "Aucun malheur ne t’arrivera, nulle plaie ne s’approchera de ta tente. Car il donnera à ses anges un ordre à ton sujet, pour te garder dans toutes tes voies. Sur leurs mains ils te porteront, de peur que tu ne heurtes quelque pierre avec ton pied" (Psaumes 91:10-12).
Est-ce à dire qu’actuellement, nous ne sommes plus protégés sur un plan individuel par Dieu ? La protection que Dieu nous assure est celle de notre avenir éternel, en terme d’espérance de vie éternelle, soit par la survivance à la grande tribulation ou par la résurrection dans la mesure où nous endurerons jusqu’à la fin (Matthieu 24:13 ; Jean 5:28,29 ; Actes 24:15 ; Révélation 7:9-17). De plus, Jésus-Christ dans sa description du signe des derniers jours (Matthieu 24, 25, Marc 13 et Luc 21), et le livre de la Révélation (particulièrement aux chapitre 6:1-8 et 12:12), montrent que l’humanité passerait par de grands malheurs et ce, depuis 1914, ce qui laisse bien entendre, que pendant un temps, Dieu ne l’en préserverait pas.
Cependant, Dieu ne nous a pas laissé sans possibilité de nous protéger individuellement par l’application de ses conseils bienveillants contenus dans la Bible, sa Parole. Dans les grandes lignes, l’application des principes bibliques permettent d’éviter les risques inutiles qui pourraient abréger notre vie d’une manière absurde: "Mon fils, n’oublie pas ma loi, et que ton cœur observe mes commandements, car longueur de jours, années de vie et paix te seront ajoutées" (Proverbes 3:1,2). Nous avons vu plus haut, que le destin n’existe pas. Par conséquent, l’application des principes bibliques, les conseils de Dieu, sera comparable au fait de regarder prudemment à droite et à gauche avant de traverser la rue, afin de préserver notre vie: "L’homme astucieux qui a vu le malheur s’est caché ; les personnes inexpérimentées qui ont passé outre en ont porté la peine" (Proverbes 27:12).
De plus l’apôtre Pierre a insisté sur le fait d’être vigilant en vue de prière: "Mais la fin de toutes choses s’est approchée. Soyez donc sains d’esprit et soyez vigilants en vue des prières" (1 Pierre 4:7). La prière et la méditation peuvent avoir un effet protecteur sur notre équilibre spirituel et mental: "Ne vous inquiétez de rien, mais en tout, par la prière et la supplication avec action de grâces, faites connaître vos requêtes à Dieu ; et la paix de Dieu, qui surpasse toute pensée, gardera vos cœurs et vos facultés mentales par le moyen de Christ Jésus" (Philippiens 4:6,7 ; Genèse 24:63).
Certains pensent qu’ils ont fait l’objet de la protection de Dieu à un moment donné de leur vie. Rien, dans la Bible, n’empêche d’entrevoir cette possibilité exceptionnelle de la part de Dieu, bien au contraire: "Vraiment je proclamerai le nom de Jéhovah devant toi ; oui, je favoriserai qui je favoriserai et je ferai miséricorde à qui je ferai miséricorde" (Exode 33:19). Cette expérience reste de l’ordre de la relation exclusive entre Dieu et cette personne qui aurait été protégée par Dieu, il ne nous appartient pas de juger: "Qui es-tu pour juger le domestique d’un autre ? C’est pour son propre maître qu’il tient debout ou qu’il tombe. Oui, il sera maintenu debout, car Jéhovah peut le faire tenir debout" (Romains 14:4).
Avant la fin définitive de la souffrance, nous devons faire notre part individuelle pour nous aimer les uns les autres et nous aider les uns les autres, afin de soulager la souffrance dans notre entourage: "Je vous donne un commandement nouveau : que vous vous aimiez les uns les autres ; comme je vous ai aimés, que vous aussi vous vous aimiez les uns les autres. Par là tous sauront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour entre vous" (Jean 13:34,35). Le disciple Jacques, demi-frère de Jésus-Christ, a bien écrit que ce genre d’amour doit se concrétiser par des actes ou des initiatives en vue d’aider notre prochain qui se trouve en détresse : "Si un frère ou une sœur se trouvent nus et manquent de la nourriture quotidienne, et que pourtant l’un de vous leur dise : “ Allez en paix, restez au chaud et continuez à bien vous nourrir ”, mais que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire à leur corps, à quoi cela sert-il ?"" (Jacques 2:15,16). Jésus-Christ a encouragé à aider ceux qui ne pourront jamais nous le rendre: "Mais quand tu offres un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles ; et tu seras heureux, parce qu’ils n’ont pas de quoi te rendre. Car cela te sera rendu à la résurrection des justes" (Luc 14:13,14). En faisant cela, d’une certaine manière nous "prêtons" à Jéhovah et Il nous le rendra… au centuple : "Qui témoigne de la faveur au petit prête à Jéhovah, et son traitement, Il le lui rendra" (Proverbes 19:17).
Il est intéressant de noter ce que Jésus-Christ mentionne comme actes de miséricordes qui nous permettra ou non, d’avoir sa faveur : "Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire. J’étais étranger et vous m’avez accueilli avec hospitalité ; nu, et vous m’avez vêtu. Je suis tombé malade et vous avez pris soin de moi. J’étais en prison et vous êtes venus vers moi.’" (Matthieu 25:31-46). Donner à manger, donner à boire, accueillir des étrangers, habiller, visiter des malades, visiter des prisonniers emprisonnés à cause de leur foi. Il est à noter, que dans toutes ces actions, il n’y a aucun acte que l’on pourrait considérer comme "religieux". Pourquoi ? Souvent, Jésus-Christ a répété cette recommandation : "Je veux la miséricorde et non le sacrifice" (Matthieu 9:13 ; 12:7). Le sens général du mot "miséricorde" est la compassion ou pitié en action (Le sens plus restreint est le pardon). En voyant une personne dans le besoin, que nous la connaissions ou non, notre cœur est ému, et si nous sommes en mesure de le faire, nous lui portons assistance (Proverbes 3:27,28).
Le sacrifice représente des actes spirituels en relation directe avec l’adoration de Dieu. Si bien évidemment notre relation avec Dieu est ce qu’il y a de plus important, Jésus-Christ montra qu’il ne faut pas utiliser le prétexte du "sacrifice" pour s’abstenir de manifester de la miséricorde. Dans une certaine circonstance, Jésus-Christ a condamné certains de ses contemporains qui se servaient du prétexte du "sacrifice" pour ne pas aider matériellement leurs parents devenus âgés (Matthieu 15:3-9). Dans ce cas de figure, il est intéressant de noter ce que Jésus-Christ fait dire à ceux qui chercheront à avoir son approbation et pourtant ne l’auront pas : "Beaucoup me diront en ce jour-là : ‘ Seigneur, Seigneur, n’est-ce pas en ton nom que nous avons prophétisé, et en ton nom que nous avons expulsé des démons, et en ton nom que nous avons accompli de nombreuses œuvres de puissance ?’" (Matthieu 7:22). Si nous comparons Matthieu 7:21-23 avec 25:31-46 et Jean 13:34,35, nous nous rendons compte que bien que le "sacrifice" spirituel est étroitement lié à la miséricorde, cette dernière est loin de lui être subordonnée du point de vue de Jéhovah Dieu et de son Fils Jésus-Christ : "Mais celui qui a les moyens d’existence de ce monde et voit son frère dans le besoin et pourtant lui ferme l’accès de ses tendres compassions, comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui ? Petits enfants, aimons, non pas en parole ni avec la langue, mais en action et vérité" (1 Jean 3:17,18 ; Matthieu 5:7).
À la question du prophète Habacuc (1:2-4), concernant pourquoi Dieu permettait la souffrance et la méchanceté, voici la réponse: "Alors Jéhovah me répondit et dit : “ Écris la vision, et présente-la clairement sur des tablettes, afin que celui qui y lit à haute voix puisse la lire couramment. Car [la] vision est encore pour le temps fixé, et elle reste haletante jusqu’à la fin, et elle ne mentira pas. Même si elle venait à tarder, continue à l’attendre ; car elle se réalisera à coup sûr. Elle ne sera pas en retard" (Habacuc 2:2,3). Voici quelques textes bibliques de cette "vision" de l’espérance future très proche qui ne sera pas en retard:
"Et j’ai vu un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car l’ancien ciel et l’ancienne terre avaient disparu, et la mer n’est plus. J’ai vu aussi la ville sainte, la Nouvelle Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, et préparée comme une épouse parée pour son mari. Alors j’ai entendu une voix forte venant du trône dire : “ Voyez ! La tente de Dieu est avec les humains, et il résidera avec eux, et ils seront ses peuples. Et Dieu lui-même sera avec eux. Et il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; ni deuil, ni cri, ni douleur ne seront plus. Les choses anciennes ont disparu” (Révélation 21:1-4).
"Oui, le loup résidera quelque temps avec l’agneau, et le léopard se couchera avec le chevreau, et le veau et le jeune lion à crinière et l’animal bien nourri, tous ensemble ; et un petit garçon les conduira. La vache et l’ourse pâtureront ; ensemble se coucheront leurs petits. Et même le lion mangera de la paille comme le taureau. Oui, le nourrisson jouera sur le trou du cobra ; et sur la lucarne du serpent venimeux l’enfant sevré mettra vraiment sa main. On ne fera aucun mal et on ne causera aucun ravage dans toute ma montagne sainte, car vraiment la terre sera remplie de la connaissance de Jéhovah comme les eaux recouvrent la mer" (Esaïe 11:6-9).
"À cette époque s’ouvriront les yeux des aveugles, et s’ouvriront les oreilles des sourds. À cette époque le boiteux grimpera comme le cerf, et la langue du muet poussera des cris de joie. Car des eaux auront jailli dans le désert et des torrents dans la plaine désertique. Le sol torride sera devenu comme un étang couvert de roseaux, le sol desséché comme des sources d’eau. Dans la demeure des chacals, lieu de repos pour eux, il y aura de l’herbe verte avec des roseaux et du papyrus" (Esaïe 35:5-7).
“Il n’y aura plus de ce lieu de nourrisson de peu de jours, ni de vieillard qui n’accomplisse pas ses jours ; car on mourra étant encore un garçon, bien qu’âgé de cent ans ; quant au pécheur, bien qu’âgé de cent ans, on appellera le mal sur lui. Oui, ils bâtiront des maisons et [les] habiteront ; oui, ils planteront des vignes et mangeront leurs fruits. Ils ne bâtiront pas pour qu’un autre habite, ils ne planteront pas pour qu’un autre mange. Car les jours de mon peuple seront comme les jours d’un arbre ; et ceux que j’ai choisis profiteront pleinement de l’œuvre de leurs mains. Ils ne peineront pas pour rien, ils n’auront pas des enfants pour le trouble ; car ils sont la descendance composée des bénis de Jéhovah, et leur lignée avec eux. Et vraiment il arrivera ceci : avant qu’ils crient, moi je répondrai ; alors qu’ils parleront encore, moi j’entendrai" (Esaïe 65:20-24).
"Que sa chair devienne plus fraîche que dans la jeunesse, qu’il revienne aux jours de sa vigueur juvénile" (Job 33 :25).
"Oui, Jéhovah des armées fera pour tous les peuples, dans cette montagne, un banquet de mets ruisselants d’huile, un banquet de vins qu’on a laissé reposer sur leur lie, de mets ruisselants d’huile, pleins de moelle, de vins qu’on a laissé reposer sur leur lie et qu’on a filtrés. Oui, il engloutira dans cette montagne la face de l’enveloppe étendue sur tous les peuples et qui les enveloppe, ainsi que le tissu qui est tissé sur toutes les nations. Oui, il engloutira la mort pour toujours ; oui, le Souverain Seigneur Jéhovah essuiera les larmes de dessus tous les visages. Et l’opprobre de son peuple, il l’ôtera de dessus toute la terre, car Jéhovah lui-même l’a dit. Et vraiment on dira en ce jour-là : “Regardez ! Voici notre Dieu. Nous avons espéré en lui, et il nous sauvera. Voici Jéhovah. Nous avons espéré en lui. Soyons dans la joie et réjouissons-nous en son salut.”" (Esaïe 25:6-8).
"Tes morts vivront. Un cadavre à moi — ils se relèveront. Réveillez-vous et poussez des cris de joie, vous qui résidez dans la poussière ! Car ta rosée est comme la rosée des mauves, et la terre fera tomber c’est-à-dire enfantera même ceux qui sont sans force dans la mort" (Esaïe 26:19).
"Et beaucoup de ceux qui sont endormis dans le sol de poussière se réveilleront, ceux-ci pour la vie de durée indéfinie et ceux-là pour les opprobres et pour l’aversion de durée indéfinie" (Daniel 12:2).
"Ne vous étonnez pas de cela, parce que l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront sa voix et sortiront ceux qui ont fait des choses bonnes, pour une résurrection de vie, ceux qui ont pratiqué des choses viles, pour une résurrection de jugement" (Jean 5:28,29).
"Et j’ai cette espérance envers Dieu, espérance que ces hommes nourrissent eux aussi, qu’il va y avoir une résurrection tant des justes que des injustes" (Actes 24:15) (LES RÉCOLTES DE VIES; LE PRINCE TERRESTRE; LE PRÊTRE TERRESTRE; LE LÉVITE DU PARADIS).
Qui est Satan le diable ?
Roi Jésus-Christ et de l'établissement du Royaume de Dieu dans le ciel
"Et une guerre a éclaté dans le ciel : Mikaël et ses anges ont lutté contre le dragon, et le dragon et ses anges ont lutté, mais il n’a pas été
le plus fort, et il ne s’est plus trouvé de place pour eux dans le ciel. Et il a été jeté, le grand dragon, le serpent originel, celui qu’on appelle Diable et Satan, qui égare la terre habitée tout entière ;
il a été jeté sur la terre, et ses anges ont été jetés avec lui. Et j’ai entendu une voix forte dans le ciel dire : “Maintenant sont arrivés le salut, et la puissance, et le royaume de
notre Dieu, et le pouvoir de son Christ, parce qu’il a été jeté, l’accusateur de nos frères, qui les accuse jour et nuit devant notre Dieu ! Et ils l’ont vaincu à cause du sang de l’Agneau et
à cause de la parole de leur témoignage, et ils n’ont pas aimé leurs âmes, même face à la mort. Voilà pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui y résidez ! Malheur à la terre
et à la mer, parce que le Diable est descendu vers vous, ayant une grande fureur, sachant qu’il [n’]a [qu’]une courte période. ” (Révélation 12:7-12)
Pour aussi surprenant que cela puisse paraître, le livre de la Révélation chapitre 12 confirme à deux reprises que Satan et ses démons ont été expulsés des cieux avant l’intronisation du Roi Jésus-Christ, dans les cieux, en 1914 :
"Et on a vu un grand signe dans le ciel : une femme revêtue du soleil, et la lune était sous ses pieds, et sur sa tête était une couronne de douze étoiles, et elle était enceinte. Et elle crie dans les douleurs et les tourments de l’accouchement. Et on a vu un autre signe dans le ciel, et regardez ! un grand dragon couleur de feu, avec sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes ; et sa queue traîne le tiers des étoiles du ciel, et il les a jetées sur la terre. Et le dragon se tenait devant la femme qui était sur le point d’accoucher, pour que, lorsqu’elle accoucherait, il puisse dévorer son enfant. Et elle a mis au monde un fils, un mâle, qui va faire paître toutes les nations avec un bâton de fer. Et son enfant a été emporté vers Dieu et vers son trône. Et la femme s’est enfuie dans le désert, où elle a un lieu préparé par Dieu, pour qu’on l’y nourrisse pendant mille deux cent soixante jours" (Révélation 12:1-6).
La "femme" est décrite comme étant sur le point de mettre au monde un "enfant", qui n’est autre que le Royaume de Dieu, dont le Roi est Jésus-Christ. Cependant, le verset 4, montre que Satan le dragon se tenait devant la femme, prêt à dévorer l’enfant. Ainsi, la logique est de penser que le "dragon" a été éjecté et ainsi que ses démons, pour ne pas qu’il fasse du mal à la femme et à l’enfant. D'ailleurs, en Révélation 12:2 il est écrit :
"Et elle crie dans les douleurs et les tourments de l’accouchement". Il est intéressant de noter que Jésus-Christ a comparé les épreuves de sa mort sur un poteau de supplice, aux "douleurs de l'accouchement" d'une femme qui sont oubliées par l'accomplissement de l'espérance, dans ce cas la résurrection du Christ: "Une femme, quand elle accouche, a de la tristesse, parce que son heure est arrivée ; mais quand elle a donné le jour au petit enfant, elle ne se souvient plus de la tribulation à cause de la joie qu’un homme soit né dans le monde. Vous donc aussi, oui vous avez maintenant de la tristesse ; mais je vous verrai de nouveau et votre cœur se réjouira, et votre joie, personne ne vous l’enlèvera" (Jean 16:21,22).
Ainsi, il ne fait aucun doute que les "cris" et "les douleurs" de la "femme qui accouche", précédant la venue du "bébé", le Royaume de Dieu, représente ni plus ni moins que les combats célestes pour purifier les cieux de la présence impure de Satan et des démons (qui ont commencé le 10 Tishri 5675 (le 30 septembre 1914) et qui se sont terminés avant l'intronisation du Christ Roi, en célébration victorieuse de ce combat céleste, en octobre 1914.
"Et une guerre a éclaté dans le ciel : Mikaël et ses anges ont lutté contre le dragon, et le dragon
et ses anges ont lutté, mais il n’a pas été le plus fort, et il ne s’est plus trouvé de place pour eux dans le ciel. Et il a été jeté, le grand dragon, le serpent originel, celui qu’on appelle
Diable et Satan, qui égare la terre habitée tout entière ; il a été jeté sur la terre, et ses anges ont été jetés avec lui. Et j’ai entendu une voix forte dans le ciel dire : “Maintenant sont arrivés le salut, et la puissance, et le royaume de notre Dieu, et le pouvoir de son Christ, parce qu’il a été jeté, l’accusateur de nos frères, qui les accuse jour
et nuit devant notre Dieu ! Et ils l’ont vaincu à cause du sang de l’Agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n’ont pas aimé leurs âmes, même face à la mort. Voilà
pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui y résidez ! Malheur à la terre et à la mer, parce que le Diable est descendu vers vous, ayant une grande fureur, sachant qu’il [n’]a [qu’]une courte période.” Or, quand le dragon a vu qu’il a été jeté sur la terre, il a persécuté la femme qui a mis au monde l’enfant mâle. Mais les deux ailes du grand aigle ont été données
à la femme pour qu’elle puisse s’envoler au désert, vers son lieu ; c’est là qu’elle est nourrie pendant un temps et des temps et la moitié d’un temps, loin de la face du serpent" (Révélation
12:7-14).
Ce passage est une répétition de la vision prophétique de Révélation 12:1-6 (comparer la répétition de Révélation 12 :6 et 14). Les
versets 7 à 9 décrivent la guerre d’expulsion de Satan et des démons des cieux. Les versets 10-12 décrivent la victoire par l’établissement officiel du Royaume de Dieu dans les cieux.
Ainsi, a eu lieu la purification des cieux de la présence impure de Satan et des démons, et ensuite a eu lieu l’établissement officiel du Royaume de Dieu dans les cieux.
Satan le diable, sera détruit définitivement: "De son côté, le Dieu qui donne la paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds" (Genèse 3:15 ; Romains 16:20).
Casus Belli mondial contre l’intégrité du corps humain
dans la guerre mondiale NRBC
(Ezéchiel 34)
Les bergers qui se paissent eux-mêmes
"Voici ce qu’a dit le Souverain Seigneur Jéhovah : “Malheur aux bergers d’Israël qui se paissent eux-mêmes ! N’est-ce pas le troupeau que les bergers doivent faire paître ? Vous mangez la graisse et vous vous revêtez de la laine. Vous abattez l’animal replet. Vous ne faites pas paître le troupeau. Les brebis malades, vous ne les avez pas fortifiées ; celle qui était souffrante, vous ne l’avez pas guérie ; celle qui était brisée, vous ne l’avez pas bandée ; celle qui était dispersée, vous ne l’avez pas ramenée ; celle qui était perdue, vous ne l’avez pas cherchée ; mais c’est avec dureté que vous les avez tenues dans la soumission, oui avec tyrannie. Et finalement elles ont été dispersées par manque de berger, si bien qu’elles sont devenues une nourriture pour toutes les bêtes sauvages des champs, et elles étaient dispersées. Mes brebis erraient sur toutes les montagnes et sur toute colline élevée ; et à toute la surface de la terre mes brebis furent dispersées, sans que personne aille à leur recherche, sans que personne les cherche”” (Ezéchiel 34:2-6).
Comme nous l’avons vu plus haut, le corps humain a été créé par Dieu et nous a été donné en héritage divin, pour en prendre soin, tel un temple que l’on habite et qui devrait être habité par l’esprit de Dieu (1 Corinthiens 3 :16 "L’esprit de Dieu habite en vous"). Ce corps et la vie qui l’anime, n’appartiennent pas à un quelconque état ou une entité qui se voudrait mondialiste, ni même à aucune organisation religieuse. Le corps humain que nous avons et la vie qui l’anime appartiennent à Dieu, parce qu’Il en est la source et le Créateur (Révélation 4:11).
Jésus-Christ a dit de rendre à César ce qui appartient à César et rendre à Dieu ce qui appartient à Dieu (Luc 20:25). Le chrétien qui rend à César ce qui est à César, a une attitude respectueuse envers les autorités établies de son pays. En 1 Pierre 2:17, il est écrit de craindre Dieu et d’honorer le roi. Selon le contexte, le roi est le dépositaire de l’autorité du pays sur lequel il règne. L’apôtre Paul, dans la lettre aux Romains (13:1-7), encourage tous les chrétiens à respecter les gouvernements et leurs représentants, qu’ils soient rois, princes, présidents, ministres, députés… Ce passage montre que nous devons respecter ceux qui sont habilités à faire exécuter la loi, à savoir, la police, les militaires dans certains pays, les juges, les procureurs et les divers représentants des administrations, tels que par exemple, les instituteurs, les professeurs, les proviseurs, les inspecteurs des impôts… Ceci étant dit, Jésus-Christ a ajouté que nous devons rendre ce qui appartient à Dieu à Dieu. Ce qui appartient à Dieu c’est la vie qu’Il nous a donné. Par conséquent, si un quelconque état s’approprie de manière rampante, voir perverse nos corps et le corps de nos enfants, comme l’a dit l’apôtre Pierre devant un tribunal: "Nous devons obéir à Dieu, en sa qualité de chef, plutôt qu’aux hommes" (Actes 5:29).
Dans ce qui suit, il ne s’agit pas d’un appel au manque de respect aux autorités gouvernementales en place, mais de prendre acte d’une situation qui semble ressembler à ce qui est écrit dans la prophétie d’Ezéchiel chapitre 34, citée au début de l’article, et de prendre les mesures qui s’imposent pour respecter les principes bibliques sur la valeur sacré de la vie et du sang. Quelles sont les faits observables ?
Le monde vit actuellement, depuis le mois de novembre 2019, de facto, un Casus Belli, une guerre mondiale de type NRBC, contre les peuples et contre l’intégrité de leurs corps (les brebis perdues et dispersées). Ce Casus Belli mondial contre l’intégrité du corps humain, que Dieu nous a confié, n’est pas fait avec des tanques, des bombes et des canons. Il s’organise sur fond de trafic international de virus militaire (sortie d’un laboratoire de type P4 (fabriquant officiellement des virus militaires dans le cadre de guerres de types NRBC)) et de propagandes savamment orchestrées (ingénierie sociale), dans le but d’épouvanter les peuples. Le principe de base de ces laboratoires de la mort est de recueillir des virus que l’on trouve normalement dans la nature, dans le règne animal et qui, à la base sont généralement inoffensifs pour l’homme ; ils ne sont généralement pas transmissibles et si c’est le cas, ils ne sont généralement pas mortels. Ces laboratoires démoniaques font en sorte, de rendre ces virus transmissibles à l’homme par un "séquençage", un processus extrêmement complexe qui peut prendre plusieurs mois. L’objectif diabolique est d’obtenir un "gain de fonction", c’est-à-dire, dans ce cas de figure, faire en sorte que ce (ou ces) virus soit mortel pour l’homme, en augmentant, de manière substantielle la létalité de ce virus militaire manufacturé (les références ou les brevets de ces virus militaires se trouvent au NIH GenBank ou dans certaines archives de l’OMS (au moins d’une filiale d’un de ces pays). Dit en passant, le NIH a supprimé des informations des laboratoires de Wuhan sur le séquançage génétique du virus militaire, selon le FOIA de Watchdog (30 mars 2022)) (Que se passe-t-il à Shangaï ?) (Le crédit social à la chinoise, commence en Italie (Bologne)).
(Le crédit social à la chinoise et l’Agenda 2030: Cet agenda a été adopté par l'ONU en septembre 2015 après deux ans de négociations incluant les gouvernements comme la société civile. L’agenda 2030 s’inscrit dans le cadre d’une idéologie mondialiste, particulièrement dans les pays de la zone de l’OTAN et de ses partenaires (L’Europe de l’Ouest, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande...). C’est dans ces zones du monde que l’idéologie intégriste et sectaire du “covidisme”, qui porte atteinte à l’intégrité corporelle des peuples, s’est implantée (La situation à Shangaï (Chine), en est une illustration poussée à son extrême et à bien des égards, peut nous donner un aperçu futur de ce genre de dictature à l’échelle de plusieurs états réunis, voir mondiale). Les situations de “pandémie” mondiale, ou d’urgence climatique, sont des prétextes tout trouvés pour instaurer une dictature, de manière progressive et larvée sur l’ensemble des peuples. L’instauration “volontaire” du “crédit social” en Italie (Bologne et Rome (fin mars 2022)), n’est que le commencement de ce processus, qui s’inscrit dans l’instauration future, larvée et perverse, d’une “obligation”...).
Dans la prophétie d’Ezéchiel 34, Jéhovah Dieu fait le reproche suivant aux chefs mondiaux, les bergers qui se paissent eux-mêmes, au détriment de leur peuple et des peuples: "C’est avec dureté que vous les avez tenues dans la soumission, oui avec tyrannie". Comment cette tyrannie et cette dureté se sont-elles manifestées ?
Après la diffusion, bien évidemment "fortuite" (non vérifiable dans un sens, comme dans l’autre), de ce virus militaire létal, s’en suit une campagne de presse mondiale, qui va certifier, qu’il est question d’un accident de type "fuite", comme dans une centrale nucléaire, alors qu’un laboratoire P4, est un des lieux les plus sécurisée au monde. Ils vont dire par exemple qu’il vient du règne animal, ce qui est une demi-vérité, car c’est à la fois vrai et faux, donc faux (vrai+faux=faux). S’en suit une deuxième étape, essentiellement basée sur une ingénierie sociale propagandiste, basée sur la peur avec des messages et des reportages morbides à répétition, pour effrayer les peuples et surtout insister sur le fait qu’il n’y a aucun remède médical, ni même aucune molécule pour pouvoir guérir de ce virus militaire. La seule solution est l’attente du produit chimique injectable messianique qui va sauver la vie de l’humanité.
Ce Casus Belli est accompagné d’une expérimentation de thérapie génique de masse sur des corps humains sains, non malades, à l’échelle internationale, sur l’ensemble des peuples (les brebis non soignées), de produits chimiques injectables, de manière plus ou moins coercitive (au mépris du Code de Nuremberg – 1947 (voir les 10 articles en fin de page) (La thérapie génique mondiale en cours, est toujours officiellement, en phase d’expérimentation, par conséquent, elle rentre tout à fait dans le cadre juridique du Code de Nuremberg)). Ceux et celles, à la tête de nations ou de groupes de nations, qui ordonnent les injections, à répétition de ces poisons, dans des corps humains sains, ont des liens d’intérêts financiers connus de tous, directs ou indirects.
Ce Casus Belli, de type NRBC, utilise les médias corrompus par l’argent et coordonnés entre eux comme outil de propagande à la Goebbel (porte-parole du régime nazi hitlérien). Il est de notoriété publique qu’ils sont à la solde de nombreux oligarques milliardaires corrompus, qui influent aussi, sur de nombreux gouvernements (les bergers qui se paissent eux-mêmes), afin de créer une surréalité mensongère, de manière à effrayer les peuples (les brebis dispersées), les désorienter psychologiquement et mentalement, leur faire adopter des comportements complètement irrationnels, par des décisions contradictoires successives (des injonctions paradoxales) et des mensonges complètement assumés. Par cette administration sous forme d’ingénierie sociale du harcèlement et de la torture mentale au long court, ces bergers qui se paissent eux-mêmes, obtiennent le consentement par épuisement nerveux et mentale des brebis perdues, avec une coercition plus ou moins larvée (Voir Ezéchiel 34).
Dans un texte d’Esaïe 5:20 il est écrit: "Malheur à ceux qui disent que le bien est mal et que le mal est bien, à ceux qui mettent les ténèbres pour la lumière et la lumière pour les ténèbres, à ceux qui mettent l’amer pour le doux et le doux pour l’amer !". Ce texte décrit très exactement les inversions perverses et démoniaques des valeurs de ces ingénieurs du mensonge et de la manipulation meurtrière (Jean 8:44). Ces bergers qui se paissent eux-mêmes, ont interdit aux médecins de soigner des personnes âgées avec des molécules peu onéreuses. Ensuite ces mêmes bergers qui se paissent eux-mêmes, demandent aux enfants de risquer leur propre santé, voir leur vie, pour ces mêmes personnes âgées qu’ils ont mis en danger de mort en interdisant aux médecins de les soigner. Ces mêmes bergers qui se paissent eux-mêmes, demandent aux enfants de risquer leur propre santé, voir leur vie, pour des adultes alors que ce devrait être le contraire, à savoir que ce sont les adultes qui devraient être disposés à risquer leur vie pour les enfants, représentant l'avenir de l'humanité...
De très nombreux médecins, infirmières, aides-soignantes et femmes de ménage, travaillant dans les milieux des soins médicaux, ont été au front pour porter assistance aux personnes atteintes par ce virus militaire. Beaucoup l’ont payé de leur vie (Que se passe-t-il en France concernant les soignants, les pompiers et d'autres personnes (en lien avec le milieu médical), suspendus et renvoyés sans salaire et sans chômage et non réintégrés, pour avoir refusé l’injection expérimentale? (Seulement en langue française)). Jéhovah Dieu et son Fils Jésus-Christ, ne les oublieront pas à l’heure de la résurrection (Actes 24 :15 ; Hébreux 6 :10). Les hommes et les femmes courageux qui ont jusqu’à ce jour, dénoncé ce Casus belli, l’ont payé de leur vie pour certains, de mise au secret et emprisonnements pour d’autres et ils sont traités de "complotistes", terme inventé par la CIA en 1965, suite à la commission Warren (compte rendu officiel sur les circonstances qui ont entouré l’assassinat de JFK).
Dit en passant, les commissions sénatoriales actuelles, sont de fait, de vraies pièces de théâtre morbides. On observe un jeu de rôle diabolique, entre ces commissions d’"enquêtes", qui font jeu de mettre en défaut, les personnes convoquées et interrogées, et ces dernières qui, en fin de compte, repartent comme elles sont entrées, c’est-à-dire libres de continuer leurs entreprises sordides. Ces commissions sénatoriales courcircuitent le rôle des procureurs, des juges et des tribunaux, qui devraient emprisonner et juger ces meurtriers, ces fils de Josef Mengele, qui ont fait ces injections géniques expérimentales de masses, qui ont causé la mort de centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants de par le monde, et des millions de séquelles invalidantes pour ceux qui en ont survécu. Ces menteurs meurtriers appliquent la logique de suicide collectif des peuples, à la manière de Jim Jones et de David Koresh, des gourous qui n’ont pas voulu mourir seuls, mais qui voulaient être accompagnés dans leurs folies, par leurs centaines d’adeptes qui ont été "suicidés". Nous vivons aussi, dans une logique de destruction massive mondiale, économique, diplomatique qui provoquent des guerres et la destruction de peuples. Ils sont dans une même logique de fuite en avant meurtrière que ces deux chefs de sectes.
Alors que nous sommes très proches de la Grande Tribulation, une prophétie de l’Apocalypse et du livre de Daniel, est en train de se réaliser sous nos yeux: "Il me dit aussi : “ Ne scelle pas les paroles de la prophétie de ce rouleau, car le temps fixé est proche. Celui qui pratique l’injustice, qu’il pratique l’injustice encore ; et que le sale se salisse encore ; mais que le juste pratique la justice encore, et que le saint soit sanctifié encore"" (Révélation 22:10,11). "Beaucoup se purifieront et se blanchiront et seront affinés. À coup sûr les méchants agiront méchamment, et aucun méchant ne comprendra ; mais les perspicaces comprendront" (Daniel 12:10). En attendant que le Roi Jésus-Christ balaye de la surface de la terre ces scélérats, lors de la Grande Tribulation (Révélation 19:11-21), ceux qui pratiquent la justice dans leur cœur, font chaque jour cette prière au Père Céleste, Jéhovah Dieu: "Enfin, frères, priez pour nous, pour que la parole de Jéhovah poursuive sa course et continue d’être glorifiée comme d’ailleurs elle l’est chez vous ; et que nous soyons délivrés des hommes malfaisants et méchants, car la foi n’est pas le bien de tous. Mais le Seigneur est fidèle, et il vous affermira et vous gardera du méchant" (2 Thessaloniciens 3:1-3).
Dans cette situation diabolique mondiale, qui porte atteinte à l’intégrité corporelle des hommes, des femmes, des enfants et même, aussi malheureusement, à celle des nourrissons, que doit faire le chrétien qui veut plaire à Jéhovah Dieu et à son Fils Jésus-Christ ?
Jéhovah demande à ce que chacun prenne soin de ce temple : "Je vous supplie donc, frères, par les compassions de Dieu, de présenter vos corps [comme] un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu : un service sacré avec votre raison" (Romains 12:1). Ce corps était conçu, dès le commencement pour un service sacré envers Dieu, c’est-à-dire, se conformer au dessein qu’il avait prévu au départ, au moment de la création d’Adam et Eve (Genèse 1:26-28).
La prise de médicament est une décision personnelle, en pesant les risques pour sa vie. Elle doit se faire dans un cadre médical, pour se soigner. Cette prise de médicament ne doit pas se faire sous la contrainte gouvernementale ou morale, par exemple dans le cadre d’une congrégation. Si tel était le cas, ces autorités gouvernementales, voir spirituelles, outrepasseraient l’article 1, du Code de Nuremberg qui interdit les expérimentations médicales sous la contraintes (Rappel: la thérapie génique mondiale en cours, est toujours officiellement, en phase d’expérimentation, par conséquent, elle rentre tout à fait dans le cadre juridique du Code de Nuremberg): "Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition (…)".(Extrait de l’article 1, du code de Nuremberg).
Dans le contexte actuel, le chrétien doit doubler de vigilance. Il doit s’abstenir de faire rentrer des produits chimiques expérimentaux, particulièrement pour des raisons qui n’ont rien à voir avec leur santé et celle de leurs propres enfants. Ces produits expérimentaux injectables, ont causé à ce jour, la mort des dizaines de milliers de personnes de par le monde, et ont rendu gravement malades, des milliers d’autres personnes (Pour plus d’informations voir VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System (www.vaers.hhs.gov))) (Seulement écrit en anglais). Ces injections géniques sont faites, pour la plupart, pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la santé des adultes et encore moins de celle des enfants, mais plutôt, sous des prétextes non médicaux de passe-droit, pour pouvoir aller au restaurant, au bowling ou d’autres endroits de plaisir, justifiés par des arguments complètement fallacieux et sous forme de chantage. D’autres personnes ont été forcées et menacées sous peine de perdre leur travail et leur source de revenus. Le fait d’exiger que pour aller dans un lieu, de se faire pénétrer un objet ou un produit dans notre corps, n’est en rien un acte médical, mais un acte de marquage, comme on le ferait pour des animaux, avant d’entrer dans un enclos, c'est une violation caractérisée de la dimension spirituelle et sacrée de l'intégrité du corps humain.
Les parents doivent réfléchir sérieusement à cette question, pour leurs enfants et pour eux, dans la prière pour faire face à cette situation étrange et parfois angoissante. Les enseignants de la Parole de Dieu doivent réfléchir sérieusement, avec beaucoup de prières, à cette question car cette situation n’a rien d’anodine sur le plan de la spiritualité biblique et plus généralement de l’éthique (Romains 14 :12). Il est tout à fait normal de se sentir désorienté, perplexe et surpris face à cette attaque extrêmement perverse de Satan le diable et de ses démons humains. Prions Jéhovah Dieu, demandons-lui son aide, Il est miséricordieux. Si nous pensons dans un premier temps ne pas avoir pris la meilleure décision, cela peut arriver à tout un chacun. Jéhovah Dieu voit nos bonnes intentions. Soyons courageux confions en Jéhovah Dieu et en son Fils bien aimé Jésus-Christ et ils nous soutiendront (Proverbes 3 :5,6). N’ayons pas peur et soyons forts, soutenons-nous les uns les autres, que ce soit en famille, entre amis, ou en congrégation, aimons-nous les uns les autres (Jean 13 :34,35).
LE CODE DE NUREMBERG (1947)
10 ARTICLES
1 Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée. Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative de, dirige ou travaille à l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément ;
2 L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature ;
3 L’expérience doit être construite et fondée de façon telle sur les résultats de l’expérimentation animale et de la connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou autre problème à l’étude, que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience ;
4 L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires ;
5 Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront ; sauf, peut-être, dans ces expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets ;
6 Le niveau des risques devant être pris ne doit jamais excéder celui de l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience ;
7 Les dispositions doivent être prises et les moyens fournis pour protéger le sujet d’expérience contre les éventualités, même ténues, de blessure, infirmité ou décès ;
8 Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence professionnelle doit être exigé tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent ;
9 Dans le déroulement de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre un terme à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental dans lequel la continuation de l’expérience lui semble impossible ;
10 Dans le déroulement de l’expérience, le scientifique qui en a la charge doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a été conduit à croire — dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence du plus haut niveau et du jugement prudent qui sont requis de lui — qu’une continuation de l’expérience pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet d’expérience.
Derniers commentaires
28.11 | 19:44
Bonjour. Non. Tu dois suivre le modèle du Christ qui ne s'est pas baptisé lui-même, ou tout seul, mais par un baptiseur, serviteur de Dieu... Cordialement...
28.11 | 16:54
Bonjour, étant non-voyant le baptême est-il valable si je m’immerges avec une prière ? Cordialement.
24.11 | 21:56
Bonjour Jonathan, je t'invite à te rapprocher des anciens de ta congrégation qui seront en mesure de répondre à ta question. Je n'ai pas suffisamment d'information pour te répondre. Cordialement.
24.11 | 20:45
Bonjours, le baptême est-il valable en s’immergeant soi-même dans l’eau pour des raisons de handicape ? Cordialement
Jésus-Christ a décrit le diable de façon très concise: "Celui-là a été un homicide lorsqu’il a commencé, et il n’a pas tenu bon dans la vérité, parce que la vérité n’est pas en lui. Quand il dit le mensonge, il parle selon sa propre inclination, parce que c’est un menteur et le père du mensonge" (Jean 8:44). Satan le diable n’est pas l’abstraction du mal, mais bien une personne spirituelle réelle (Voir le récit de Matthieu 4:1-11). De même, les démons sont aussi des anges qui sont devenus rebelles qui ont suivi l’exemple du diable (Genèse 6:1-3, à comparer avec la lettre de Jude verset 6: "Et les anges qui n’ont pas gardé leur position originelle, mais ont abandonné leur demeure naturelle, il les a réservés avec des liens éternels, sous l’obscurité profonde, pour le jugement du grand jour").
Quand il est écrit "il n’a pas tenu bon dans la vérité", cela montre que Dieu avait créé cet ange sans péché et sans aucune trace de méchanceté dans son cœur. Cet ange, au départ de sa vie avait un "beau nom" (Ecclésiaste 7:1a). Cependant, il n’a pas persévéré dans son intégrité, il a cultivé l’orgueil dans son cœur et avec le temps il est devenu "diable", ce qui veut dire calomniateur, et Satan, opposant ; son ancien beau nom, sa bonne réputation, a été remplacé par un autre à la signification d’opprobre éternelle. Dans la prophétie d’Ézéchiel (chapitre 28), contre le roi orgueilleux de Tyr, il est clairement fait allusion à l’orgueil de l’ange qui est devenu "diable" et "Satan": "Tu scelles un modèle, plein de sagesse et parfait en beauté. Tu étais en Éden, le jardin de Dieu. Toutes les pierres précieuses te recouvraient : rubis, topaze et jaspe ; chrysolithe, onyx et jade ; saphir, turquoise et émeraude ; et d’or était le travail de tes montures et de tes alvéoles en toi. Au jour de ta création elles furent préparées. Tu es le chérubin oint qui couvre, et je t’ai placé. Tu étais sur la montagne sainte de Dieu. Au milieu de pierres de feu tu circulais. Tu as été intègre dans tes voies depuis le jour de ta création jusqu’à ce que l’injustice ait été trouvée en toi" (Ézéchiel 28:12-15). Par son acte d’injustice, en Éden, il est devenu un "menteur" qui causé la mort de l’ensemble de la descendance d’Adam (Genèse 3 ; Romains 5:12). Actuellement, c’est Satan le diable qui gouverne le monde : " Maintenant a lieu un jugement de ce monde ; maintenant le chef de ce monde sera jeté dehors" (Jean 12:31 ; Éphésiens 2:2 ; 1 Jean 5:19).
Satan le diable sera détruit à jamais : "De son côté, le Dieu qui donne la paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds" (Genèse 3:15 ; Romains 16:20).
L'expulsion du ciel de Satan le diable et des démons, avant l'intronisation du